L’immunité est la capacité de votre organisme à se défendre contre d’éventuelles agressions par des agents infectieux (bactéries, microbes, champignons, etc.) extérieurs ou intérieurs.
La réaction immunitaire, telle qu’elle est définie aujourd’hui, se caractérise par « une réaction par les cellules immunitaires » (globules blancs, phagocytes, plasmocytes, etc.). Ce processus immunitaire se compose de deux voies d’action :
- Une voie d’action humorale
- Une voie d’action cellulaire
On dit de ces voies d’action immunitaire qu’elles sont adaptatives, c’est-à-dire que leur réaction est dirigée par la reconnaissance du pathogène (= élément qui rend malade), puis enregistrée par des « cellules mémoires ».
Mais avant toute cette cascade de réactions cellulaires en chaîne, il existe une autre forme d’immunité. Il s’agit de l’immunité primaire ou primitive.
En cultivant cette première barrière protectrice qu’est l’immunité primitive, le virus n’a pas même le temps de proliférer et de créer des dégâts au sein de l’organisme.
En quoi consiste cette immunité primitive ?
Elle consiste en un champ de type électromagnétique, érigé tout autour de notre corps, et même à plus petite échelle, autour de chacune de nos cellules.
En effet, l’idée que le corps fonctionne sur la base de la transmission de messagers chimiques, électriques et magnétiques, n’est pas nouvelle. C’est pour cela que l’Homme peut s’électrocuter, « avoir les cheveux électriques » ou un « coup de jus ».
La cellule est formée d’atomes, eux-mêmes composés d’ions à polarité négative et positive. Il existe donc dans le corps deux pôles qui fonctionnent toujours ensemble mais de façon inversée : le pôle électrique et le pôle magnétique.
Or, il se trouve que la polarisation ou la dépolarisation des cellules est directement liée…à notre façon de penser. La pensée, construite par notre Conscient, est transmise au Subconscient qui la concrétise au niveau biologique par des messages neuronaux de nature électrique ainsi que par des ondes électromagnétiques. Ce sont ces ondes générées en nous et vibrant autour de lui qui constituent un puissant champ protecteur. L’intensité et l’efficacité de cette protection électro-magnétique dépend du degré de sa fréquence.
- Plus la fréquence est élevée, plus l’immunité primitive est dite forte.
- Plus la fréquence est faible, plus l’immunité primitive est dite faible. Arrivent alors à passer ces micro-organismes pathogènes agressant notre milieu interne.
Que se passe-t-il lorsque le champ électro-magnétique, donc l’immunité primaire, est élevée ?
Plus les fréquences sont élevées, plus elles vibrent rapidement. Chaque forme de vie est la somme de vibrations à plus ou moins haute intensité.
Plus les vibrations sont basses, plus elles sont lentes, et plus elles sont visibles à l’œil nu. C’est le propre de la matière physique qui n’est, ni plus ni moins, que des vibrations à basses fréquences, donc densifiées et rendues visibles à l’œil humain.
Mais la vie ne se résume pas seulement à ce que l’on peut voir. La cellule est visible au microscope, et depuis quelques années, nous arrivons aussi à observer les atomes, mais il est encore difficile de percevoir avec netteté les ions qui vibrent très rapidement et donc difficilement perceptibles à l’œil nu. Il en va de même des protons et des neutrons. A l’heure actuelle, les scientifiques commencent à découvrir la présence d’une unité encore plus petite.
C’est la preuve indéniable que la vie ne se résume pas seulement à ce que la vue perçoit. C’est une loi qui régit toute forme de vie, à laquelle l’être humain ne fait pas exception.
L’immunité primitive, c’est donc tout cela : un champ électro-magnétique vibrant et radiant, dépassant légèrement les limites de notre corps physique.
Pour faire l’expérience de cette réalité, je vous propose un exercice simple :
Tenez-vous le dos droit, de préférence debout, et entrelacez vos doigts. Puis frottez-les frénétiquement ensemble pendant quelques secondes. Arrêtez quelques secondes et recommencez le même processus trois fois. Soyez attentif à la sensation entre vos mains.
Vous devriez sentir une forme de résistance, comme une force qui repousse vos mains. En éloignant progressivement et lentement vos mains l’une de l’autre, sentez cette force qui s’élargit et grandit. Puis à nouveau, très doucement, essayez de rapprocher vos mains.
A nouveau, sentez cette résistance quand vos mains essaient de se réunir.
Plus vous ferez cet exercice, plus vous développerez votre sensibilité à cette force électromagnétique.
Et bien, l’immunité primitive est une force de même nature.
Un micro-organisme pathogène (=qui induit la maladie) vit dans un environnement correspondant à ses propres fréquences vibratoires. Or, la vibration de ce dernier est relativement basse. Lorsqu’un microbe pénètre dans l’organisme aux fréquences élevées, il cherche à s’adapter à ce nouvel environnement en élevant ses propres vibrations. Cependant, en voulant s’élever à des fréquences bien trop élevées pour lui, il finit par s’auto-détruire avant d’avoir pu proliférer au sein de l’organisme.
Comment renforcer ce type d’immunité ?
Les vibrations du corps physique découlent de la nature polaire des formes pensées et émotionnelles, traduites par les voies nerveuses et hormonales.
Des pensées et émotions positives sont caractérisées par de hautes fréquences vibratoires et viennent élever le champ radiant protecteur.
A contrario, des pensées et émotions négatives sont caractérisées par de basses fréquences vibratoires et abaissent la force du champ radiant protecteur.
La force de votre champ radiant dépend donc en grande partie de la façon dont vous pensez et dont vous ressentez.
Mais ce n’est pas le seul élément déterminant. L’hygiène de vie l’est aussi.
L’alimentation, plus particulièrement, influence grandement sur la nature vibratoire du corps physique.
Ce qui est vital, naturel, brut donc sous forme crue, est hautement vitalisant, anti-oxydant pour le corps.
Ce qui est mort, transformé et dénaturé par des processus chimiques, mécaniques et la cuisson, est faiblement voire aucunement vitalisant, mais plutôt anti-biologique, anti-hygiénique et dévitalisant. Ce type d’aliments demandera plus d’efforts à l’organisme pour être neutralisé et éliminé, qu’ils ne lui apporteront vraiment de bénéfices pour son bon fonctionnement.
Quels sont ces aliments ?
Il s’agit des aliments que l’on trouve à l’état cru et mûr dans la nature. Ce sont les fruits frais, juteux et mûrs, les légumes, les noix, les racines sucrées.
Tous ces aliments sont physiologiquement adaptés au tube digestif de l’Homme.
Vous le savez sûrement, mais il existe différentes catégories d’animaux que l’on peut distinguer par leur régime alimentaire : les herbivores, les carnivores, les granivores, les fruitariens, etc.
L’Homme est un grand fruitarien, un moyen herbivore et un petit “carnivore”:
Son bol alimentaire naturel est donc fait de 70% de fruits frais, juteux et crus, de 20% de légumes, de racines et de noix et 10% de protéines sous la forme de sous-produits animaux tels que des oeufs ou des fromages frais et crus, provenant d’animaux traités et nourris physiologiquement.
La plupart des produits animaux commercialisés aujourd’hui viennent d’élevages intensifs, où les bêtes sont maltraitées, mal nourries, malades et malheureuses. Ils en résultent un lait et des oeufs d’aussi piètres qualités que leur mode de vie et leur état de santé.
Les chairs animales carnées (viandes rouges, blanches, etc.) et les féculents (pâtes, pain, riz, gâteaux, biscuits, brioches, céréales, etc.) sont très mal assimilées par l’organisme humain qui finit par s’encrasser et s’engorger de déchets et de poisons digestifs.
C’est donc bien que l’alimentation n’est pas à sous-estimée.
Peu importe la maladie, la douleur ou le dysfonctionnement dont vous souffrez, il est certain qu’il/elle découle d’une surcharge organique, et plus particulièrement des liquides humoraux qui sont le sang, la lymphe et les liquides intra et extracellulaires qui transportent les nutriments vers les cellules et les déchargent de leurs déchets.
Lorsque je dis surcharge organique, je ne parle pas du poids, car des personnes peuvent avoir un poids corporel correct, voire très faible, et souffrir de surcharge organique.
Ces surcharges entraînent des carences minérales profondes qui altèrent les différents processus hormonaux, enzymatiques, cellulaires et organiques.
« Le microbe n’est rien. Le terrain est tout. »
Béchamp
Cela signifie que ce n’est pas le microbe qui est responsable de la maladie, mais la propreté du terrain, c’est-à-dire la propreté des fluides humoraux (sang, lymphe, liquide intra et extra-cellulaire) qui nourrissent les cellules et récupèrent leurs déchets. C’est en favorisant :
- une flore intestinale physiologique,
- des cellules nourries, régénérées et drainées
- et des humeurs propres, dont la circulation est fluide que l’on entretient un terrain sain.
C’est pourquoi, avant de vouloir jeter son dévolu sur les divers compléments dits “boosteur d’immunité”, il est bien plus efficace et bien moins coûteux aussi de :
- revoir son alimentation, en faisant le point sur les sucres raffinés qui s’y trouvent, les féculents et chairs animales en excès;
- remettre en question son mode de pensée : est-il à dominance positive ou négative ?
- repenser son mode de vie en apprenant les lois d’hygiène vitale
- procéder à une détoxification de l’organisme en drainant les humeurs, toujours accompagné d’un naturopathe compétent qui saura vous expliquer ce qu’il y a à savoir, comment procéder et quel est le protocole qui vous convient.